Montréal, le 22 mars 2010 – Mélissa Laveaux, jeune artiste québécoise d’origine haïtienne fait paraître son premier album sur l’étiquette Spectra Musique.  Disponible en France depuis 2008 grâce au label No Format, Mélissa distille sa voix si particulière en français, anglais et créole sur des productions acoustiques blues, soul, folk et calypsos.

Le répertoire de cet album est composé d’œuvres originales, impressionnantes de ce mélange de maturité et de fraîcheur qui n’appartient qu’aux plus grands. Les deux reprises magistralement réinventées par Mélissa Laveaux (« Needle in the hay » d’Elliott Smith et « I Wanna be Evil » d’Eartha Kitt) posent en quelque sorte les bornes imaginaires de son univers musical.

Les arrangements minimalistes, soutenus par un jeu de guitare très rythmique, privilégient l’énergie et l’impact poétique de ses mots. Sa voix surtout se déploie, majestueuse et fragile, profonde, sensuelle et délicieusement juvénile, creusée de remous intérieurs sous la séduction immédiate, comme travaillée par ce trilinguisme qui marque sa vie, la fluidité de la langue anglaise, la syncope nonchalante du Créole, la sophistication harmonique du Français.

Ce disque a été une des sensations de l’année
– Figaro Scope Décembre 2008

Un premier disque empreint de folk et de soul,
d’une grande qualité d’écriture – Vibrations Novembre 2008

Un nouvel album prometteur aux accents
olk-blues – L’Express Décembre 2008

Une voix un peu voilée, addictive, qui s’accroche en quelques secondes à vos oreilles, un picking complexe, habité par une indépendance rythmique extraordinaire : un nom à retenir – Guitarist janvier 2009

Son jeu de guitare très rythmique, sa voix de papier de verre aussi capiteuse qu’agréable et la douceur des harmoniques en font un disque superbe – Pariscope Décembre 2008

Nul doute qu’avec un tel album, cette jeune canadienne d’origine haïtienne de 25 ans, fait une entrée fracassante dans le petit cercle des auteurs compositeurs interprètes les plus prometteurs de notre époque.