You Are There: Duets

Le nouveau disque en magasin le 10 août

EN SPECTACLE: 1er et 2 OCTOBRE
UPSTAIRS JAZZ BAR & GRILL
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Montréal, août 2010 — Chanteuse, compositrice, arrangeuse et pianiste, Hilary Kole est une artiste polyvalente et passionnée, une touche-à-tout comme on voit trop rarement aujourd’hui. Donnant suite au succès de Haunted Heart, un premier enregistrement intimiste réalisé avec amour par le guitariste de réputation internationale John Pizzarelli, elle offre cet été You Are There, un deuxième album essentiellement composé de duos appelé à asseoir sa renommée de brillante chanteuse jazz.

En pleine possession de ses moyens aux côtés de ses nombreux et émérites collaborateurs, Hank Jones, Cedar Walton, Freddy Cole, Kenny Barron, Michel Legrand et Dave Brubeck pour ne nommer que ceux-là, Hilary Kole fait siennes les chansons de ce deuxième album, standards auxquels elle insuffle une fraîcheur nouvelle. Difficile d’ailleurs de trouver une pièce faible parmi cette collection de treize titres dédiés à l’amour; dès If I Had You, pièce d’ouverture à laquelle prend part l’inimitable Hank Jones, et jusqu’à All The Way, qu’elle interprète en compagnie du grand Monty Alexander, la richesse des détails et le raffinement des arrangements envoûtent, un bonheur renouvelé à chaque nouvelle écoute.

1  If I Had You  (avec Hank Jones)
2  Every Time We Say Goodbye (avec Cedar Walton)
3  It’s Always You (avec Freddy Cole)
4  Lush Life (avec Kenny Baron)
5  These Foolish Things (avec Dave Brubeck)
6  I Remember (avec Mike Renzi)
7  How Do You Keep The Music Playing (avec Michel Legrand)
8  But Beautiful   (avec Hank Jones)
9  Softly, As In A Morning Sunrise   (avec Benny Green)
10  Strange Meadowlark (avec Dave Brubeck)
11  You Are There (avec Alan Broadbent)
12  Two For The Road (avec Steve Kuhn)
13  All The Way (avec Monty Alexander)

“Elle parvient à garder la maîtrise de l’expression de ses émotions tout en faisant corps avec ses accompagnateurs.”
4/5 Michel Truchon – Le Soleil

“Un album d’une heure pleine et voluptueuse, dans lequel on se vautre carrément, pour en goûter chque seconde, bercé par cette voix envoûtante et certains des meilleurs pianistes de la planète jazz. À écouter encore et encore.”
4/5 Valérie Lessard – Le Droit