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Le nouvel album disponible le 14 mai

EN SPECTACLE
4 juillet
Ottawa  – Bluesfest
5 juilletMontréal – Métropolis (Festival International de Jazz de Montréal)
28 juillet – Baie St-Paul – Festif!

Montréal, mars  2013 – Le réputé groupe  de Melbourne  The  Cat Empire est de retour  avec  Steal  The  Light,  un  tout nouvel  album  qui  paraîtra  le  14  mai  sous étiquette Two Shoes Records/Inertia. Le groupe sera de retour au pays avec des spectacles à Ottawa, Montréal et Baie St-Paul en juillet prochain. Condensé d’expériences  multiples, Steal the Light marque le dixième anniversaire d’existence de The Cat  Empire. Une décennie  durant  laquelle  le sextuor  s’est forgé un son d’une énergie exemplaire qui transcende les genres.

Sur  Steal  The  Light,  le  groupe   s’éloigne   du  carcan «multi-genres»  pour  se concentrer  sur  une  seule  chose : marier  la  mélodie  et  le  rythme. «Ce disque marque  un  retour  à notre  esthétique  originelle»,  remarque  le  trompettiste  Harry Angus. On voulait qu’il transmette une chose toute simple. À savoir: que la musique sert à deux choses. Faire danser  et faire  du bien.  Cela  dit, on est tous âgés  de 10 ans de plus que lorsque  nous  avons  sorti notre premier album. Donc, les thèmes abordés dans nos paroles sont différents. Reste que nos chansons devraient faire danser les gens et les faire sourire. Et ça, c’est tout ce que l’on souhaite!»

Depuis  la  sortie  et  le  succès  de  son  premier  disque  studio  en  2003,  la  formation  n’a  cessé  d’ajouter  de nouvelles  sonorités  à  son  style,  déjà  riche  et  varié.  Pour  décrire  ce  son,  les  critiques  ont  pris  l’habitude d’enchaîner  les termes, alliant jazz, reggae, funk, musique latine, hip-hop, et ainsi de suite. Car le groupe est connu pour sauter d’un style à l’autre, souvent au sein d’une même chanson. «Qu’importent  les définitions  si les gens dansent?»

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La création  de l’album  a débuté  en Europe,  durant  l’été 2011.  Le chanteur,  Felix Riebl,  se trouvait  alors à Athènes,  où il travaillait  sur les cérémonies  d’ouverture  et de fermeture  des Jeux olympiques  spéciaux.  «Je vivais dans un motel deux étoiles situé dans le quartier Monastiraki,  se souvient-il.  J’avais une chambre avec une vue splendide sur L’Acropole,  sur la ville enveloppée  de brume, sur les manifestations,  sur les boutiques d’ameublement  bizarres… J’ai composé beaucoup de choses sur un petit clavier, enfermé dans ce décor hors du commun.»

Les idées ont continué  de germer durant une tournée  aux Etats-Unis  durant laquelle  Felix a pris une pause pour  réaliser  un  vieux  rêve:  se  rendre  au  Festival  de  Jazz  de  la  Nouvelle-Orléans.   «J’avais  prévu  rester seulement  un week-end;  j’y ai finalement  passé deux mois. J’ai été captivé par le côté mystérieux  de la ville, son histoire extraordinaire, ses couleurs caribéennes, son architecture européenne et surtout sa musique. Incessante.  Fascinante.  Profonde.  Ce séjour m’a replongé dans un état semblable  à celui dans lequel je me trouvais au tout début de ma carrière avec The Cat Empire. Il y avait quelque chose de sauvage, de fou, de dément  dans  cet  endroit.  Les  danses,  les  fantômes,  la tristesse  et les  célébrations  dans  les  vieilles  rues hantées… J’adorais être coincé dans ce décor! Plusieurs mélodies y sont nées, d’ailleurs.»

Repoussant constamment  les limites, explorant les styles et les sonorités, The Cat Empire innove une fois de plus avec Steal The Light. Rythmé,  joliment  chaotique,  coloré. Un disque magique  auquel il sera difficile de résister…

http://thecatempire.com/