<!--:fr-->Omar Sosa – Ilé, le nouvel album CD disponible le 10 mars<!--:-->

Montréal, mars 2015 – Clin d’œil à la culture de son ile natale, entre jazz et musique du grand sud, ilé, disponible le 10 mars prochain, des ballades et des pièces au groove subtil, baignées dans une afro-cubanité enrichie d’un zeste d’électro.

OMAR_SOSA_03_2015coverDepuis son départ de Cuba en 1993, Omar Sosa poursuit une voie musicale tout à fait singulière, métissant ses racines afro-cubaines d’éléments de jazz, de world music, de hip–hop et d’électronique. Son nouveau disque, ilé, marque un retour aux influences jazz latino de ses années d’études à La Havane, au tournant des années 1990. À cette époque, Omar Sosa appréciait la musique de Pancho Quinto, Lázaro Ros, Rubén González, Machito, Benny Moré, Arsenio, Cachao, Lili Martinez, Peruchin, Chucho Valdés et Irakere. Le nouvel album studio du pianiste–compositeur puise son inspiration dans les racines jazz latino de sa terre natale. En langue Lucumí, issue du Yoruba d’Afrique de l’Ouest et employée dans la tradition cubaine de la santeria, ilé signifie « foyer » ou « terre ».

Pour ce projet, Omar Sosa s’est entouré de musiciens chevronnés avec lesquels il entretient des liens étroits, ses deux compatriotes, Ernesto Simpson (batterie) et Leandro Saint-Hill (saxophone alto, flute et clarinette), nés à Camagüey comme lui et, Childo Tomas (basse électrique), originaire du Mozambique. Ensemble, ils forment le Quarteto AfroCubano, parlent le même langage musical, et trouvent dans leur double héritage cubain et africain un formidable tremplin pour libérer leur créativité. Plusieurs invités ont participé à cet enregistrement : le percussionniste cubain Pedro Martinez, le guitariste américain Marvin Sewell, le saxophoniste cubain Yosvany Terry et le grand Eladio « Don Pancho » Terry au chekeré.

Pour la première fois depuis Free Roots et Bembon, ce nouvel album contient plusieurs morceaux avec des voix. C’est ainsi qu’Omar Sosa, qui vit en Espagne depuis quinze ans, a travaillé plusieurs titres avec le chanteur de flamenco José « El Salao » Martín.

Le poète–‐rappeur américain Kokayi, spécialiste de la création orale, apporte également, sur deux morceaux, sa contribution vocale au projet.

Source : World Village

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