.
Le nouvel album disponible le 10 sept.
Sur fonds d’afro-funk et de melodies ancestrales,
le père de l’éthio-jazz réinvente de l’abyssinie.

Montréal, août 2013 –
Revenu sur le devant de la scène en 2005 grâce à la musique du film de Jim Jarmusch Broken Flowers, Mulatu Astatke est devenu un artiste« culte » et chacune de ses apparitions en concert est une fête musicale sous-tendue par un somptueux appel à la danse.

Mulatu_Astatke_08_2013
Pour son premier album publié sur un label international, Jazz Village, le père de l’ «éthio-jazz» nous livre sa musique particulièrement riche, nourrie de tout son parcours : sa formation de percussionniste, ses études de composition, ses collaborations avec nombre de jazzmen au premier rang, desquels Duke Ellington, ses influences jazz et latines, et bien sûr la musique traditionnelle de son pays. Revenu sur le devant de la scène en 2005 grâce à la musique du film de Jim Jarmusch « Broken Flowers », il est devenu un artiste « culte » et chacune de ses apparitions en concert est une fête musicale sous-tendue par un somptueux appel à la danse.

Chef d’orchestre, arrangeur, joueur de vibraphone et de congas, Mulatu Astatke joue désormais avec son groupe régulier Step Ahead basé en Angleterre. Réalisé à Addis-Abeba Londres, et dans les studios de La Buissonne près d’Avignon, Sketches of Ethiopia propulse sur la planète jazz mondiale sa musique divinement chatoyante, mélange unique de groove moderne, de mélodies séculaires, de reflets de musique classique occidentale et de rythmes latins et afro-funk.

http://www.mulatu-astatke.com/