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Un savant mélange de pop, de R&B, de soul et de funk, le tout teinté d’Afropop.

La pièce-titre de l’album est la chanson-thème de la bande-dessinée
SuperAfrican, qui sortira en même temps que l’album »

«Kenyan Funk Master» — San Francisco Chronicle

«Africa’s James Brown» — Oakland Post

«An addictive mix of heavy funk, lively afrobeat,
and sun-soaked island rhythms»

— San Francisco Weekly

«Strikingly melodic, and eminently danceable» – San Francisco Bay Guardian
Pour SuperAfrican, l’auteur-compositeur-interprète américain Sila a puisé dans ses souvenirs d’enfance, époque où il habitait un village situé à 75 km de Nairobi au Kénya.  «L’album est constitué des styles de musique qui ont accompagné mon enfance.  J’écoutais Voice of America et j’entendais James Brown, Miles Davis, Bob Marley, Otis Redding, Michael Jackson, Prince, et Jimi Hendrix.  La radio locale, elle, faisait jouer Miriam Makeba, Angélique Kidjo et Fela Kuti», explique Sila.  
Bien que la totalité des paroles soient en anglais, l’album est très «international», multiethnique, comme Sila lui-même.   SuperAfrican se veut un regard sur la musique Noire américaine à travers le regard d’un expatrié africain qui aspire au rêve américain, tout en racontant son expérience dans sa terre d’accueil et qui s’adapte à sa nouvelle culture, sans pour autant perdre son identité d’origine.  
En cette ère d’échantillonnages et de modifications vocales de studio, SuperAfrican se démarque par ses instruments organiques.  En fait, non moins de 27 musiciens ont participé à l’enregistrement!  «Enregistrer une section de cordes en studio était un rêve qui devenait réalité», affirme-t-il.  Et certains des meilleurs musiciens de la région de San Francisco ont mis leur talent à contribution : des membres des groupes de Santana, de Stevie Wonder, de Michael Franti & Spearhead, du Mickey Hart Band, du Jazz Mafia et bien d’autres.  Être entouré de tels talents «m’a poussé à me surpasser, tant au niveau de la composition, de l’écriture, du chant que de la réalisation».

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Paru en 2010, Black President, l’album précédent de Sila, s’est mérité le prix Outstanding World Music Album (album de Musique du monde exceptionnel) au gala annuel NAACP Image Awards (National Association for the Advancement of Colored People) devançant entre autres Zap Mama et Omou Sangare.  «Être reconnu au niveau national m’a poussé à travailler très fort sur SuperAfrican», raconte Sila.  Je me devais d’être à la hauteur de cet honneur.  L’album précédent était une collaboration avec le Afrofunk Experience, mais cette fois, il s’agit véritablement d’une oeuvre solo.»
“As as young boy growing up in Kenya, I loved reading comic books,” Sila relates. “Super heroes inspired me to be creative, strong and hopeful. But these superheroes didn’t look like me and the places where their adventures took place didn’t resemble the world I lived in at all. There’s a big difference between Gotham City and Nairobi, Soweto, or Dakar. So I thought, why not create an African superhero who addresses the issues that kids in Africa face? SuperAfrican is a hero who fights against corruption, greed and ecological injustice. My hope is that he can inspire young kids in Africa to learn how to be resilient and become better human beings.”

L’album SuperAfrican de Sila 
Disponible le 25 février en téléchargement

http://victorsila.com/