Sur la vidéo «Vien me le dire» de JP Nataf

JP NATAF
L’EX-CHANTEUR DES INNOCENTS PRÉSENTE CLAIR,
En magasin le mardi 11 mai
En spectacle aux Francofolies les 15 et 16 juin au Club Soda

Montréal, le mercredi 21 avril 2010 — Connu au Québec comme chanteur du groupe pop rock français Les Innocents, dont les cinq albums, parus entre 1989 et 1999, ont marqué la scène francophone, JP Nataf est de retour, après une (trop) longue absence, avec Clair. Entre tonus rock et dentelle pop, douceurs de sucre et noirceurs secrètes, l’album, véritable patchwork réalisé avec l’aide de l’Innocent compagnon, Jean-Christophe Urbain, révèle le prolifique auteur, compositeur et interprète dans toute son atypie.

Recruté par le prestigieux label Tôt ou tard au début des années 2000, JP Nataf fut la voix, les doigts et une des têtes de l’inimitable groupe Les Innocents de 1982 à 1999. En 2004, il fait paraître Plus de sucre, un premier album folk minimaliste et intimiste qui retient l’attention. Puis, les collaborations se multiplient : proche de Jeanne Cherhal, il fonde avec elle en 2005 le groupe de reprises Red Legs à la suite d’une apparition à la télé. Il partage aussi les planches avec Albin de La Simone dans différentes circonstances et croise, sur scène et en studio, le chemin d’Olivier Libaux, de Jean-Louis Murat, de Mathieu Boogaerts, d’Agnès Jaoui et de Barbara Carlotti.

DIT OU ÉCRIT À PROPOS DE CLAIR…
« Tempura pop servie sur un lit de guitares acoustiques et électriques, banjo, orgue Hammond et percussions assortis aux moyens du bord (un tabouret en cuir à défaut de grosse caisse, très peu de piano), les airs de Clair planent au-dessus du paysage musical actuel. Au point que des titres comme Monkey, Après toi ou Myosotis figurent — avec ceux de la Superbe, le nouveau Benjamin Biolay — ce que la chanson française a de mieux à offrir en ce moment. »
— Gilles Renaud, Libération

« Clair ressemble à l’improbable rencontre entre la voix éminente de Polnareff, le sens mélodique de John Lennon période Woman et l’orgue d’église langoureux du Whiter Shade of Pale de Procol Harum. Résultat : un titre à la beauté désarmante, qui s’offre une place de luxe sur le podium des chansons de l’année en quatre minutes à peine. On en comptera deux fois plus sur Seul Alone, chef-d’oeuvre bavard du disque situé en son milieu : composé de huit couplets, durant près de dix minutes, il est à la fois la colonne vertébrale, la charpente et le coeur de l’album. »
— Johanna Seban, Les Inrocks

JP NATAF — CLAIR
ALBUM EN MAGASIN DÈS LE MARDI 11 MAI
www.jpnataf.fr