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Date de sortie : 8 octobre 2013

Montréal, le 30 septembre 2013 – Lorsque la musique, le chant et l’amour sont au cœur de notre univers, alors on se dit que la vita è bella. Deux mots pour décrire ce nouvel album de l’incomparable baryton lyrique, Gino Quilico : amore et chaleur.  Sous étiquette ANALEKTA, voici Serata d’Amore. Sur des airs de chansons d’hier et d’aujourd’hui, Gino Quilico nous emmène faire un tour dans la péninsule italienne. Portés par les arrangements de Dominic Bouliane, les 15 titres retenus permettent de dérouler un fil conducteur : l’univers dans lequel le chanteur a grandi…décrits par ce dernier comme « de purs moments de bonheur ».  Le Gino Quillico qui se livre ici, c’est l’amoureux… l’amoureux de la vie, de la musique et de l’amour.

Après une carrière de plus de 30 ans dans les plus grandes maisons d’opéra du monde (le Metropolitan Opera, la Scala di Milano, le Royal Opera House de Covent Garden, le Vienna State Opera et l’Opéra de Paris), avec les plus grands chefs d’orchestre (Herbert Von Karajan, Leonard Bernstein, Seiji Ozawa, James Levine, Lorin Maazel, Zubin Mehta, Georges Prêtre et Kent Nagano), et avec les orchestres les plus prestigieux (les orchestres symphoniques de Montréal, de Boston, de Toronto, l’Orchestre National de France, les orchestres philarmoniques de Vienne et de Berlin, et le Bayerische Rundfunk de Munich), c’est en compagnie de l’Ensemble Triosphère, au son de l’accordéon (Alexandre Sevastian), de la guitare et de la mandoline (Glenn Lévesque), que ce grand chanteur québécois a choisi cette fois, de partager ici,  avec nous, un petit bout de sa vie, en toute intimité.

Issu d’une famille de musiciens, fils du baryton Louis Quilico, et de la pianiste Carolina Pizzolongo, le chanteur plonge au cœur de ses racines italiennes et du répertoire d’opéra dans lequel il baigne depuis l’enfance.  Quilico se revoit tout jeune, sur la banquette arrière de la voiture, son père au volant, sa grand-mère et sa sœur à l’arrière… puis il y a ce son si familier de l’accordéon joué par sa mère. Ils entonnent en chœur, un air de Tosti, A Vucchella (Tendre Bouche), une chanson napolitaine qu’ils ont l’habitude de chanter alors qu’ils sont en route pour Ostia. On la retrouve ici, cette chanson aux airs si familiers et c’est avec tendresse, en se remémorant cette source intarissable de petits instants exquis, qu’il a choisi une à une, les pièces de ce répertoire.

Des chansons les plus anciennes aux plus récentes, de Chopin (Tristezza), à Tosti ; de Rossini (La danza) à Dalla (Caruso) ; d’un extrait de Don Giovanni (Deh vieni a la finestra) au grand Aznavour (Lei) ; depuis les éternelles O sole mio d’Eduardo di Capua, Santa Lucia de Teodoro Cottrau et Torna Sorriento d’Ernesto De Curtis, le chanteur nous livre sans réserve ses états d’âme.  Les compositeurs Nino Rota, Eros Sciorilli, Guido Maria, Ernesto de Curtis, Teodoro Cottrau, complètent le tableau aux couleurs chaudes et ensoleillées du pays de ses origines.

«À l’écoute de ce disque, dit Quilico, j’aimerais tellement que l’auditeur ait des images de jours ensoleillés, de sentiments amoureux, de romantisme, de bonheur familial et, finalement, qu’il achève d’écouter l’album en se disant simplement que la vita è bella !»

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