Fidelio: une étiquette éminemment «audiophile»
pour les passionnés de musique

(À surveiller prochainement: Blue Mind d’Anne Bisson)

(Montréal, 10 février 2009) – Les audiophiles, ces obsédés du son et de la musique, gagnent du terrain!  Aussi, le label québécois Fidelio et son fondateur René Laflamme leur proposent-ils des œuvres de créateurs et d’interprètes talentueux, dans un répertoire varié, à travers une qualité exceptionnelle d’enregistrement.  Il en sera ainsi de  l’album Blue Mind d’Anne Bisson, une nouvelle venue sur la scène musicale québécoise et une artiste de grand talent qui sera à surveiller étroitement au cours des prochains mois.

La philosophie de Fidelio pourrait se résumer en un mot : « musique », avec tout ce que cela signifie au niveau du respect de l’artiste et de son œuvre, et cela, de la prise de son au produit final.  Avec une vingtaine d’albums d’artistes peu connus à son catalogue, Fidelio se démarque par son audace et son goût du risque, deux valeurs qui s’imposent dans ce monde où l’on pousse l’expérience sonore aux limites de ses possibilités. Plusieurs fois récipiendaire du prix du meilleur disque audiophile de l’année, attribué par diverses revues nord-américaines et  internationales, tranquillement, Fidelio a commencé à se faire remarquer à l’extérieur des frontières du Québec.

La pianiste et chanteuse Anne Bisson s’est donc tournée vers cette maison de disques unique pour mettre sa carrière sur les rails.  Chez Fidelio, déjà, à lapremière écoute on était convaincu : une force tranquille, une intensité et une grande profondeur se dégageaient de sa voix.  Une recrue idéale pour Fidelio qui l’a prise prise sous son aile.  Son premier album Blue Mind est à l’image de la maison. Il s’agit du fruit d’un travail minutieux et d’une étroite collaboration avec l’artiste. Le résultat : un produit haut-de-gamme qui sera disponible très bientôt en DC mais aussi, dans sa version vinyle.

Le mot vinyle : de quoi faire sourciller? Pour Fidelio, le retour du vinyle était un incontournable. Pourtant, alors même que l’ère du disque compact connaissait ses heures de gloire et que les ventes affichaient des profits record chez les « majors », les audiophiles n’en démordaient pas et poussaient la quête de l’objet rare, parfois même, jusqu’aux confins de la planète.  Aujourd’hui, alors qu’Internet et le téléchargement ont modifié les habitudes de consommation de la musique en un « fast food » sonore, certains audiophiles sortent de l’ombre pour annoncer haut et fort la mort du disque compact et le retour en force du vinyle. Ils sont de plus en plus nombreux à chercher autre chose. Le fil conducteur? Deux capteurs situés à environ une vingtaine de centimètres de distance l’un de l’autre : nos oreilles. Pour les audiophiles, c’est l’audition humaine qui dicte les règles à suivre et non le marché. C’est plus qu’un gage de qualité, c’est une façon de vivre une expérience ultime et intime avec la musique!

Il est vrai que les exigences des audiophiles frôlent parfois l’obsession. La raison?  La chaleur du son analogique, plus près de la réalité, plus fidèle à l’émotion pour que l’immersion musicale de l’auditeur soit totale.  Mais il n’y a pas que cela : la précieuse pochette, l’orgueil du collectionneur, fait de l’album un objet unique ! Voilà autant de valeurs ajoutées dans un marché actuellement en déclin.

À surveiller prochainement sous étiquette Fidelio, BLUE MIND d’Anne Bisson
http://www.fidelioaudio.com/prod/index.php?lng=an